Ces niveaux élevés de détresse évalués au plus fort de la pandémie COVID-19, chez les infirmières et les médecins ne sont certes pas une surprise. Mais avec la moitié des effectifs atteints de symptômes dépressifs, l’étude présentée dans la revue General Hospital Psychiatry montre toute l’ampleur de ces effets psychologiques chez les personnels de santé. Des données qui montrent toute l’urgence de mettre en place de nouveaux protocoles à l’hôpital pour répondre à ce type de crise sanitaire.
Les facultés de Médecine de Sorbonne Université et de l’Université Paris Est Créteil proposeront pour la rentrée 2020-2021 aux professionnels de santé titulaires du diplôme d’État d’infirmier (IDE), avec un minimum 3 ans d’exercice, une formation spécifique conduisant au diplôme d’état en pratique avancée (grade Master 2).
La formation est organisée autour de :
1re année en tronc commun permettant de poser les bases de l’exercice infirmier en pratique avancée.
Ce capteur portable, nommé « VitalScout » et présenté par une équipe de bioingénieurs de l’Université de Galles du Sud permet d’évaluer les niveaux de stress. Documenté dans les Physiological Reports, ce dispositif pourrait contribuer à mieux contrôler et prévenir le burn out, en particulier chez les médecins, les infirmiers et autres personnels de santé.
La forte prévalence du stress et de l’épuisement professionnel est bien documentée chez les professionnels de santé, rappelle l’auteur principal, le Dr Damian M.