Cette étude menée par une équipe du College of Nursing, The Ohio State University sur l'association entre le bien-être des infirmières, la culture du bien-être au travail et la durée des quarts de travail, montre combien la pandémie de COVID-19 avec ses conditions de travail difficiles et le plus souvent de longues périodes de soins aux patients, a gravement affecté la santé physique et mentale des infirmières, en particulier des soignants travaillant en première ligne.