Cette recherche menée à Université de Syracuse apporte un nouveau bilan des effets dramatiques de la pandémie sur les professionnels de santé de première ligne. Ce « bilan mental » met en lumière la prévalence très élevée du syndrome stress post-traumatique (SSPT), un effet jusque-là moins documenté que l’épuisement professionnel. Ce rapport, proposé dans le Journal of Psychiatric Research précise qu’au-delà du diagnostic formel de SSPT chez ces personnels de santé, la prévalence des problèmes de santé mentale sera lourde et durable pour la profession.