Importante démotivation, perte d’espoir, sentiments négatifs pour 70% des professionnels et niveau de stress augmenté, ce sont les principales conclusions du sondage 2013 réalisé par le Syndicat national des professionnels infirmiers. Avec, toujours, le rejet des coopérations et transferts de compétences tels que prévus dans la Loi Hôpital.
Ce sondage mené par IPSOS par le SNPI sur ses adhérents a été mené en janvier 2013.
Alors que 366 millions de patients dans le monde souffrent d’un « pied diabétique », que le diabète entraîne une amputation toutes les 30 secondes et qu’un diabétique sur 5 aura un ulcère du pied au cours de sa vie, toute nouveauté pour le traitement local des ulcérations du pied des patients diabétiques est bienvenue. Le laboratoire Urgo vient ainsi d’annoncer, à l’occasion de la conférence des Plaies et de la cicatrisation (Paris) le lancement d’une étude clinique européenne de grande ampleur pour évaluer un nouveau pansement adapté au traitement des plaies du pied diabétique.
Ces nouvelles lignes directrices publiées par l’Infectious Diseases Society of America (IDSA) insistent sur l’importance d’une approche multidisciplinaire pour la prise en charge du pied diabétique, une des causes les plus fréquentes d’amputation des membres inférieurs. Car un patient à pied diabétique amputé a 50% de risque de décès. De nouvelles recommandations publiées dans l’édition de mai de la revue Clinical Infectious Diseases.
BPCO, maladie rénale chronique, maladie de Parkinson et insuffisance cardiaque, 4 premiers guides pour promouvoir les parcours de soins des patients atteints d’ALD, sont publiés par la Haute Autorité de santé qui entend optimiser la prise en charge des patients par une démarche de soins coordonnée et optimiser les dépenses de santé. Alors que plus de 15 millions de personnes souffrent d’une maladie chronique, et plus de 9 millions sont en ALD (affections de longue durée), la mise en œuvre des œuvre des bonnes pratiques par l’organisation du parcours de soins, reste un défi à relever.
Ces 2 décrets des 4 et 7 mai officialisent la participation des professionnels de santé étrangers au système de santé, voire leur titularisation dans certaines conditions, assouplissent le remplacement des médecins libéraux et l’exercice de la médecine foraine, c’est-à-dire un exercice sur plusieurs lieux, en particulier en unité mobile. Le premier décret met notamment fin à un vide juridique qui laissait près de 10.000 professionnels étrangers venant hors d’UE, sans titularisation.